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Centre hospitalier

de Rouffach

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QUI SOMMES-NOUS ?

Projet d’établissement

Depuis son ouverture en 1909, l’hôpital de Rouffach puise, de son riche passé, sa légitimité territoriale. Avec plus d’un siècle d’expérience, il est reconnu comme un établissement de premier plan dans le domaine de la santé mentale.

Engagé depuis 2021 dans une nouvelle dynamique s’appuyant sur son projet d’établissement 2021 – 2025, il affirme sa vocation à travers les projets portés par les pôles cliniques.

Les valeurs et les missions du centre hospitalier de Rouffach

Nos valeurs et nos missions se matérialisent par une charte d’établissement que vous pouvez consulter dans son intégralité ici Cette charte matérialise nos engagements et notre cohésion autour de ce qui est important pour nous, personnel hospitalier.

> Compétences au service d’une expertise en santé.

> Écoute et bienveillance envers les usagers.

> Logique qualité.du service rendu.

> Une approche citoyenne.

> Promouvoir le bien-être physique et mental et prévenir les problématiques de santé physique et psychique.

> Garantir une prise en charge qualitative des patients et des résidents, à tout âge de la vie.

> Améliorer les conditions de vie, l’inclusion sociale, et la citoyenneté des patients et résidents.

> Animer la communauté psychiatrique au service du projet territorial
de santé mentale.

> Déployer une démarche de responsabilité sociétale et de développement durable.

> Apporter et promouvoir des soins et des accompagnements de qualité en prenant en compte les aspects éthiques.

> Promouvoir et développer une psychiatrie ouverte sur la cité, lisible et accessible.

> Prendre en charge patients et résidents, à tous les âges de la vie, dans le cadre de leur environnement.

> Développer des actions de prévention, de formation (initiale et continue) et de recherche.

> Susciter et animer des partenariats avec les acteurs des réseaux de santé mentale.

> Déployer la démarche responsabilité sociétale établissement (RSE)  durable au cœur des missions de l’établissement et veiller à l’implication de tous les agents.

> Agir pour déstigmatiser la pathologie mentale.

Le respect

> Le libre arbitre de chacun. Nous offrons à nos patients et résidents les moyens d’effectuer librement les choix qui les concernent, seuls ou avec le soutien du personnel, et leur communiquer toutes les informations nécessaires pour prendre leurs décisions.

> Le respect de la dignité humaine. La préoccupation thérapeutique est le seul moteur de l’action des soignants.

> Le respect des droits des patients et résidents et les droits humains d’une façon générale : droit à l’information, au consentement, au libre choix, au respect de la dignité, au respect de la vie privée et à la confidentialité, au soulagement de la douleur, à l’accès au dossier médical, de réclamation.

> Le respect de l’éthique.

> Le rôle des familles et des associations d’usagers dans la prise en charge des patients et résidents.

> La lutte contre toute forme de discriminations tant au niveau de l’accueil et du traitement de nos patients, que de l’embauche et de l’emploi de nos professionnels.

> Une démarche de responsabilité sociétale établissement (RSE) dans le cadre plus large d’une démarche ISO 26 000.

> Reconnaissance de l’individu en tant qu’être autonome, unique et libre.
Cela se traduit par la volonté de l’établissement d’une part d’intégrer des considérations sociales et environnementales dans ses prises de décisions, et d’autre part, d’être en mesure de répondre des impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement.

Le professionnalisme

> L’importance accordée à la formation initiale et continue.

> La promotion du développement professionnel continu (DPC).

> La mise en œuvre de la gestion prévisionnelle des métiers et des compétences (GPMC).

> L’implication forte dans la recherche clinique.

> Le travail en équipe et en réseau.

L’écoute

> La capacité à écouter est une valeur fondamentale pour le bien-être des patients et des résidents. Le centre hospitalier de Rouffach affirme la primauté de cette valeur qu’elle soit thérapeutique ou neutre (bénévoles, aumôneries, permanence écoute…) pour entendre les besoins des patients et résidents.

> Nous nous attachons au dialogue social en interne et le conduisons avec sincérité et loyauté. Nous veillons à ce que chacun puisse bénéficier d’un environnement favorable à son épanouissement et à l’expression du meilleur de lui-même.

La bienveillance

La bienveillance, l’empathie et un souci du bien-être des autres sont primordiaux pour nous. Ainsi, au centre hospitalier de Rouffach, chacun s’engage à :

> Être attentif aux besoins des autres, d’être à leur écoute.

> Soutenir et accompagner les personnes qui requièrent soins et accompagnements.

> Prioriser l’intérêt de l’autre, en faisant abstraction de ses croyances, convictions ou opinions.

> Offrir les meilleurs soins et services requis pour améliorer le bien-être et la qualité de vie de toute personne ;

> Maximiser les avantages et bénéfices de ses actions tout en en minimisant les conséquences négatives ;

> Travailler en interdisciplinarité afin que la rencontre des savoirs soit bénéfique à l’usager.

La qualité du service rendu

Les démarches obligatoires :

> Certification V2014 par la Haute Autorité de Santé (HAS) en 2020.

> Évaluation externe des structures médico-sociales : EHPAD Maison Saint-Jacques en juin 2012, FAM et MAS en novembre 2013, CRA en 2014.

Et les démarches volontaires de reconnaissance :

> Blanchisserie ISO 9001 depuis 2007.

> Cuisine, ISO 22000 depuis 2008 et ISO 9001 depuis 2011.

> Service transport ISO 9001 depuis 2012.

Le centre hospitalier de Rouffach a pour ambition d’être :

> une structure évolutive pour de nouveaux défis au bénéfice des usagers, de leurs proches et des professionnels.

> une structure adaptable et capable de répondre aux nouveaux enjeux et attentes dans le domaine de la santé mentale.

> une structure ressource pour l’ensemble des réseaux de soins et de santé.

> une structure d’excellence engagée dans des démarches de certification et d’évaluation et inscrite dans les actions d’innovation, de recherche et d’enseignement, attachée à la responsabilité sociétale établissement (RSE).

CHIFFRES CLÉS

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D’EUROS

pour le centre hospitalier de Rouffach, toutes activités confondues

Tracé 1481
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AGENTS

couvrant une palette de 115 métiers.

Groupe 154
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LOREM IPSUM DOLOR SIT

LOREM IPSUM DOLOR
SIT AMET, CONSETETUR

Groupe 281
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LITS & PLACES

D’ACCUEIL POUR
NOS USAGERS

NOTRE HISTOIRE

C’est la loi du 30 juin 1838 qui impulse la nécessité de construire dans le Haut-Rhin un hôpital-asile destiné à recevoir et soigner des malades mentaux. Devant le surpeuplement des hôpitaux psychiatriques de Stephansfeld et de Hoerdt, le conseil général décide la construction d’un établissement sur son territoire. Rouffach est choisi pour accueillir le centre.

La construction de l’hôpital débute en 1906 et découle de la détermination du conseiller général de l’époque, Xavier Ostermeyer, qui espère ainsi relancer l’économie de la ville. C’est l’architecte Hermann Graff qui se charge de l’ambitieux projet.

L’hôpital psychiatrique de Rouffach est officiellement inauguré le 23 octobre 1909. L’établissement présente un agencement de style pavillonnaire comprenant 43 bâtiments :

● 20 pavillons d’hospitalisation
● 16 bâtiments administratifs et d’exploitation
● 7 maisons d’habitation et 5 kilomètres de route.

centre-hospitalier-de-Rouffach-HISTOIRE

La guerre bouleverse la vie de l’hôpital-asile. L’Alsace, à cette époque annexée par l’Allemagne, lui paye un lourd tribut. L’effectif soignant est fortement réduit du fait des nombreuses incorporations dans l’armée allemande. La plupart des patients seront transférés dans divers hôpitaux allemands, seuls 200 malades restent sur place pour assurer le travail des services généraux. Une partie des pavillons est réquisitionnée à des fins militaires, et quantité de matériaux sont prélevés sur les bâtiments.

L’asile passe de l’administration allemande à l’administration française. Des malades transférés en Allemagne durant la guerre, beaucoup sont morts de malnutrition ou de la grippe espagnole.
En 1927, l’asile prend en charge plus de 1 100 patients, les pavillons sont encombrés et les possibilités d’accueil arrivent à saturation. Leur nombre continuera à augmenter au fil des ans pour atteindre plus de 1600 malades en 1939.

Dès 1939, les patients ainsi qu’une bonne partie des soignants sont évacués à l’intérieur de la France. Une deuxième vague d’évacuation se fait en 1940 vers les établissements psychiatriques du Bas-Rhin : Hoerdt et Stephansfeld.
L’hôpital est réquisitionné par les nazis en 1940 et transformé en école et en institut de formation de cadres nazis jusqu’en 1944.
L’hôpital est libéré avec la ville de Rouffach le 5 février 1945. Le général de Lattre de Tassigny y crée alors une école des cadres pour l’armée française. Ce n’est que petit à petit que l’hôpital retrouve son fonctionnement et sa raison d’être : accueillir et soigner les personnes atteintes de maladie mentale, grâce à la détermination du Dr Frantz Adam. Il sera d’ailleurs son médecin – directeur de 1947 à 1955.

Cette période marque la transition entre la fin de la période asilaire et la mise en place de la sectorisation. Les traitements n’évoluent que très lentement (électrochocs, cures de sommeil, insulinothérapie) jusqu’à l’apparition des premiers neuroleptiques dans les années 1950.

À partir de 1956, sous l’impulsion du Dr Jean Perrin, de nombreuses innovations voient le jour, qui bousculent les habitudes et changent les méthodes de travail.
L’ergothérapie constitue le remède souverain. L’établissement la développe fortement et lui consacre dès 1961 plusieurs pavillons.

L’ouverture des unités de soins se fait progressivement. La mixité dans les pavillons apparaît dans les années 70. Les sorties des patients à l’extérieur, accompagnés de soignants, deviennent possibles. L’asile devient « centre hospitalier spécialisé ».

Dès 1974, sous l’impulsion de Jean Domptail, son nouveau directeur, l’hôpital s’ouvre véritablement sur l’extérieur. Les premières visites à domicile s’organisent au volant des premières voitures de service, des Renault 4L.

Pour la mixité du personnel et des patients dans les services de soins, il faudra attendre la fin des années 70.

Pierre Wesner, nommé directeur le 1ᵉʳ octobre 1987, amplifiera ce mouvement d’ouverture et engagera l’établissement dans un long travail de dé-stigmatisation de la psychiatrie auprès du grand public. François Courtot lui succèdera en 2015, plaçant les droits des patients au cœur des réflexions de l’institution.

En 2017, partageant la vision d’un meilleur accompagnement pour les personnes concernées par les troubles psychiques, le centre hospitalier s’implique, aux côtés des trois autres hôpitaux du département dispensant des soins en psychiatrie, dans la fondation de la communauté psychiatrique de territoire, mobilisant autour de ce projet plus de 60 acteurs locaux.

Sous la direction de Gérard Stark depuis septembre 2022, le centre hospitalier de Rouffach a le souci d’une gestion d’ouverture dynamique, tournée vers le social et les techniques modernes, avec pour objectif essentiel le mieux être des patients.

Directions fonctionnelles

Gérard STARK, directeur
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 70 20

Valentine de MEYRIGNAC, directrice adjointe
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 70 20

Valentine de MEYRIGNAC, directrice adjointe
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 70 20

Dominique REUSCHLE, directeur adjoint
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 70 21

Luc GEOFFROY, directeur adjoint
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 70 23

Frédéric GRELLIER, coordonnateur général des soins
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 70 04

Fabien SPARAPAN, responsable des systèmes d’information
Téléphone du secrétariat : 03 89 78 74 46

Directions fonctionnelles

SECTORISATION

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